D’un mouvement de l’âme, j’attrape le réel
Comme glisse le pas majeur de l’épopée sur le sol des années
J’accompagne la courbe et l’orbe d’une ronde
Au rythme de ma jambe, au soleil de mon bras
Jusqu’à ce que, silence, l’approche de ton pas
Vienne guider ma danse et mourir au combat
J’esquisse un pas de danse, je rouvre cet émoi
Qui se fend d’une offense et d’un rire aux éclats